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Traversez l'atlantique jusquà New-York !
Les restaurants aux grands volumes étant relativement rares à Paris, le Djoon est donc une exception bienvenue à faire connaître !
Des murs hauts de sept mètres, une déco épurée et une cuisine convaincante et un club pour danser le week-end !
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Les restaurants aux grands volumes étant relativement rares à Paris, le Djoon est donc une exception bienvenue.
Dès l'entrée, un grand bar s'offre à vous.
Tournez la tête : deux balcons aux fauteuils confortables surplombent la salle principale, dont les murs font sept mètres de haut.
Le temps de descendre quelques marches, vous apercevrez une fresque baroque au plafond, réalisée par une amie du propriétaire.
Les murs, quant à eux, sont truffés de trompe-l'oeil discrets, joliment éclairés par des lustres épurés en forme de goutte d'eau.
Vous l'aurez compris, le mélange des genres est de mise, d'autant qu'un tuyau métallique traverse le restaurant, donnant un tour industriel à l'ensemble. |
 On se croirait à New York ! |
 Le bar reste ouvert jusqu'à 2 heures. |
On se croirait dans un établissement new-yorkais !
Les fauteuils jaunes sont confortables et l'on se retrouve dans une ambiance rendue très feutrée le soir, grâce à l'utilisation quasi exclusive des bougies.
Les romantiques vont adorer, les groupes d'amis aussi.
D'autant qu'à partir de 23 heures 30 (vendredi et samedi), les tables sont poussées et la salle se transforme en piste de danse ! Ambiance house soulful grâce à des DJ réputés.
Le dimanche, soirée Dance culture, avec un DJ permanent.
Mais avant de danser, il faut vous sustenter.
Et là, que de bonnes surprises !
La carte est composée de plats classiques toujours revisités, agrémentés d'une touche d'originalité. |
Pressé de foie gras aux coeurs d'artichauts, parmentier de confit de canard au jus de truffe, cheesecake à l'ananas et aux deux coulis, bref, il y en a pour tous les goûts, du plus difficile au plus exigeant.
Pour notre part, le Méli-mélo d’avocat aux queues d’écrevisses et le Crumble niçois au fromage de chèvre ont retenu notre attention.
Les deux entrées sont arrivées impeccablement présentées, colorées et appétissantes.
Elles se sont également révélées être fines et délicieuses, mais également assez copieuses.
Le choix des plats est varié : autant de viandes que de poissons, toujours assortis d'une certaine originalité.
Et pour ceux qui sont pressés ou celles qui font attention à leur ligne, deux grandes salades sont aussi à la carte. |
 Méli-mélo d'avocat aux queues d'écrevisses
et Crumble niçois au fromage de chèvre |
 Parmentier de canard |
Nous avons opté pour un parmentier de confit de canard au jus de truffe qui s'est révélé être un bon compromis entre une cuisine du marché et un plat élaboré.
Le carré d'agneau rôti au miel et au sésame accompagné de galettes de polenta est, lui, un mélange réussi de sucré/salé.
Là encore, la présentation était particulièrement soignée. |
Quant au service, il est agréable et pas pressant. Ni trop ni pas assez, juste ce qu'il faut.
S'il vous reste de la place après une entrée et un plat aussi consistants, vous aurez le choix entre six desserts et une assiette de fromage.
Nous nous sommes laissés tenter par un classique coulant au chocolat sur lit de crème anglaise, moins surprenant que les plats, mais fort bien réalisé. |
 Laure adooore ! |
Au final, le Djoon se démarque des établissements « club & restaurant » qui privilégient souvent le premier en dépit du deuxième.
Ici, on peut s'amuser après avoir goûté une cuisine originale et de bonne qualité !
Prix à la carte : entrées environ 12 euros, plats environ 20 euros, desserts environ 8,5 euros. |
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