Aux Comptoirs des Indes, c’est une jolie salle carrée qui accueille les connaisseurs depuis quelques années, dans le 11ème arrondissement de Paris.
Lampions colorés, paysages indiens, éléphants bienveillants décorent cette salle simple, avec ses nappes et sets en papier et son carrelage sur le sol.
Pas de chichi, on va à l’essentiel aux Comptoirs des Indes : on vient là pour se régaler.
Pas besoin de voir la carte, ils la connaissent par cœur.
Un biryani bien relevé pour notre voisin de gauche, le butter chicken à droite. Le personnel est adorable, souriant, efficace.
La carte reprend bien sûr les grands classiques indiens en entrée : beignets, grillades.
Nous voulons du léger et optons pour la raïta et une salade, la Cachumbar, que je vois pour la première fois sur une carte parisienne.
Avant nos entrées arrivent les cheese nans commandés. Bien gonflés, correctement garnis de fromage, ils sont tout chauds et j’apprécie de les déguster avec les 3 sauces (que les restaurants indiens semblent avoir oublié) dont celle légèrement sucrée au tamarin.
La raïta est crémeuse et épaisse et nous sommes surprises par la qualité de la salade.
Tomates, salade concombre et oignons sont parfaitement assaisonnés d’une sauce aux herbes fraîches.
Une belle entrée, que nous nous promettons de finir après nos plats.
Entrées autour de 5/7€.
Agneau, poulet, gambas, crevettes sont proposés en tandoori ou biryani mais nous savons que la spécialité de la maison est le butter chicken, que nous commandons, ainsi qu’un poulet korma.
Etonnant ce butter chicken, il est très sucré. C’est la sauce beurre tomates et miel qui fait ça. Mais c’est délicieux, fin et le poulet fond dans la bouche. La prochaine fois nous préciserons bien relevé car l’alliance miel/piment promet d’être savoureuse.
Le poulet korma est décoré de petites amandes effilées, sa sauce est presque une crème, très épaisse, au bon goût de noix de cajou. Notre coup de cœur !
Plats autour de 12€.
Un peu de cheese nan pour saucer nos plats et nous retrouvons la fraîcheur de notre salade cachumbar avant de passer aux desserts.
Commande passée pour le yaourt à la mangue et le kulfi pistache (glace au lait indienne).
Deux belles notes fraîches après ce repas copieux (ils ne lésinent pas sur les quantités).
La gastronomie indienne n’est pas réputée pour ses desserts, mais il est agréable de finir sur une note glacée et sucrée comme ce kulfi tout vert.
Desserts à 5€.
Alain Ducasse ne s’y est pas trompé quand il a recommandé ce petit restaurant de quartier dans son dernier livre sur Paris (J’aime Paris, Editions Alain Ducasse). On y sert de la vraie cuisine indienne, les plats sont travaillés, les produits sont frais. Prix tout doux. Un quasi sans faute.
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