Dans ce coin de la rue vaugirard, parsemé de petits restaurants de tous coins d'asie, nous avons découvert KOKUMI.
Dans la famille Wang, c'est la fille Beibei qui nous a reçus et avec le sourire.
La serveuse est un peu plus traditionnelle, l'air timide et discrète mais qui s'avère très sympathique après quelques questions sur nos futures dégustations.
Côté exterieur, la façade vitrée, recouverte des cartes détaillant les menus, est assez banale, très éclairée, lampions suspendus, plantes qui cadrent une petite salle d'une trentaine de places.
La déco est assez sobre, pure : quelques lampions et tableaux parsemés par ci, par là, certains mis en valeur par une lumière arrière, un mobilier simple noir et blanc.
Ambiance pas trop chaude mais assez typique des restaurants japonisants.
La carte aussi reste très traditionnelle de la majorité des restaurants japonais parisiens : on retrouve sushis, makis, sashimis et yakitoris.
La carte est très complète et propose des menus divers et variés....
Ce que j'ai trouvé génial, n'étant pas une grande pro de la cuisine japonaise, c'est que tous les menus sont en photos, c'est donc beaucoup plus simple et plus alléchant.
Nous avons choisi des menus assez variés pour pouvoir goûter à tout !
Un menu M2 avec salade, soupe, riz, 6 sushi, 4 maki et 4 sashimi pour 13,80€.
Et un menu Bento avec salade, soupe, riz, 2 brochettes grillées, 3 sushi, 6 california maki, saumon et avocat sur riz sushi à 16,50€.
Ces menus étaient complets et bien servis, tous accompagnés de wasabi et de gingembre qu'il ne faut pas hésiter à utiliser pour reveler et jouer avec les goûts.
Une spécialité que nous voulions aussi découvrir grâce à la photo sur la carte et que le fameux cuisinier s'est empressé de nous fabriquer à la commande, le menu Maki Royal : 10 california maki au saumon recouverts de saumon à 12,80€.
Ils fondaient dans la bouche, un vrai délice au petit goût de cacahouète, recouverts de sésame croquant, généreux évidemment en saumon fin, doux et d'une fraîcheur totale... Un régal...
Nous avons choisi un Tavel 2006 rosé et fruité pour accompagner nos pièces japonnaises : 14,50€ la bouteille.
Juste pour pouvoir vous parler de leurs desserts, car nous avions les estomacs blindés après cette dégustation frugale !
Nous avons terminé par une glace au thé vert, très légère en vert mais finement sucrée et très cremeuse.
Et une assiette de Yokan (pâte de haricot rouge), sorte de marmelade présentée en tranches fines et peu sucrée.
De quoi finir en beauté sans se sentir trop lourd.
La préparation des pièces froides se fait juste derrière le bar, une vitrine réfrigérée est d'ailleurs à vue dans la salle du restaurant où les divers poissons attendent votre commande.
Nous avons d'ailleurs constaté que le téléphone sonne souvent pour des commandes à emporter, quel succès...
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