Il y a vraiment des tests de restaurants qui nous font particulièrement plaisir. Un bel endroit décoré avec goût et originalité, une carte courte, intelligente, de saison, imaginée par 2 jeunes chefs talentueux et prometteurs, Guillaume et Eddy.
Derrière le bar, on découvre le patron, Ben, en tablier façon bistrot, bien à l’aise dans son restaurant et bon conseiller.
Tables hautes et tabourets façon table d’hôte ou petites tables, c’est au choix.
La couleur de la peinture sur les murs est audacieuce, c’est un joli bleu canard qui a été choisi et confère au lieu une atmosphère très chic.
On apprécie aussi les tableaux contemporains et les détails qu’on ne voit pas partout comme ce porte-manteau de l’armée, chiné aux puces.
Plusieurs formules au menu.
Le midi : entrée/plat ou plat/dessert à 15.50€ ou les 3 pour 19€. A la carte, dans le même ordre à 18 et 23€. Soir et week-end à 23 et 29€.
Déjà, on se sent bien. La suite est tout aussi plaisante. Les prix sont doux, les plats fort alléchants comme cette terrine de queue de boeuf sauce ravigote, la salade de légumes croquants et sa vinaigrette aux tomates séchées.
Mais on délaisse ces deux propositions pour un tartare de dorade et un velouté de potiron et châtaigne, bien dans la saison.
Le tartare est parfaitement assaisonné, on aime les gros bouts d’échalotes qui lui donnent du croquant et la roquette qui apporte l’amertume à cette entrée.
Le velouté tient ses promesses, il est crémeux, parsemé de copeaux de châtaignes et présenté avec des chips de lard qui viennent subtilement le saler.
Il y en a pour tous les goûts à La Ficelle.
Du diététique avec des poissons (cabillaud, bar), du cuisiné pour les gourmets avec ce picatta de cochon mariné aux deux citrons et un gargantuesque cheeseburger devant lequel nous ne pouvons pas résister.
Notre voisin d’à côté a tellement l’air de se régaler !
Le bar de ligne est accompagné d’une sauce à l’orange et d’un flan aux poireaux pour une belle association légère.
Le cheeseburger cache un steak épais, juteux et cuit à la perfection. Oignons, fromage dégoulinant, échalotes, roquette, tout est là.
Mention spéciale aux frites maison : grosses, précises dans la découpe et joliment dorées.
Il faut se forcer à ne pas finir l’assiette. C’est que nous devons juger les desserts !
Là encore, réussite totale. La tarte au citron est doucement revisitée car montée sur un sablé breton bien exécuté. L’acidité est là, le sucre aussi.
Et le cheesecake se tient, mais les puristes regretteront peut-être le manque d’amertume du fromage frais que l’on ne sent pas assez.
Le service est enlevé, malgré une salle comble ce midi-là. La carte des vins propose 40 références dont certaines à la ficelle.
Une très belle maison à qui nous souhaitons une grande réussite. Bel effort sur les prix.
Le nouveau restaurant bistronomique du quartier Villiers, une salle élégante avec une ligne directrice tenant en 3 mots : cocktails, saveurs et créativité qui s'exprime sur une carte Française aussi gourmande que gourmet. Accueil chaleureux et attentif.
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