A quelques pas de Montmartre, dans le 18ème arrondissement de Paris, vous trouverez le respect de la tradition dans le restaurant italien Portobello, tenu par Mario, d'origine italienne et anglaise.
Une belle adresse dans le quartier depuis 1987 avec un patron jovial, qui accueille avec chaleur la clientèle et lui propose ses plats de pâtes dont les amateurs sortiront ravis.
Un grand bar nous accueille, on est dans le style pub, quelques habitués finissent leur petit café.
La salle est sur deux niveaux, le coin le plus agréable étant tout au fond, là où la pièce est plus basse de plafond (c’était un ancien magasin de charbon, la réserve y était surélevée).
La carte est typique d’une pizzéria de quartier : antiapasti, pasta, pizzas et quelques escalopes de veau.
Nous commandons en entrée un assortiment d’antipasti. Les beignets de crevettes maison ne sont pas gorgés d’huile, premier bon point.
Les courgettes et aubergines sont bien marinées et la mozzarella di buffala est très fondante.
La palme revient à l’aubergine à la parmiggiana (aubergine gratinée au four à la mozzarella et au jambon de parme), même si ce légume n’est pas encore de saison.
Entrées autour de 8€.
Passons aux plats : fettucine (de larges tagliatelles) pour moi, pizza reine pour mon invité.
Mes pâtes sont agrémentées de pancetta et pas uniquement de vulgaires lardons, c’est appréciable mais je regrette la présence d’estragon qui n’a pas lieu d’être dans cette recette.
La pizza présente des bords bien croustillants et la garniture est copieuse.
La belle qualité de la mozzarella nous ravit.
Pâtes et pizzas autour de 10€.
En dessert, le chef nous propose une suggestion qui n’est pas (encore) à la carte : gratin de clémentines et bananes façon sabayon.
Alors que j’opte pour une pannacotta aux fruits rouges.
Le gratin est gourmand, le sabayon bien épais et sucré.
Ma pannacotta dévoile une belle fermeté mais tous ces fruits rouges me laissent perplexe en plein mois de février, il est quand même préférable de déguster des fruits de saison qui n’ont pas voyagé des jours.
Desserts de 4€ à 8€.
Le chef aime son métier cela se voit et veut faire plaisir à ses clients.
On y viendra surtout pour une pizza à déguster avec un Valpolicella de la maison Bolla, avant de partir faire une petite balade digestive sur la butte, tout là-haut.
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